La gauche et la droite : pourquoi elles nous divisent encore
Articles de ce dossier
À écouter les discours de campagne, les valeurs de gauche et de droite semblent se confondre. Mais un retour sur les fondements de l’opposition gauche-droite montre qu’elle demeure un repère dans l’espace politique.
Marcel Gauchet, philosophe et auteur d’un article “La droite et la gauche” paru dans “Les Lieux de mémoire” (Gallimard), reprend son analyse en regard de l’actualité.
Efficace, éloquent, le couple gauche-droite s’est imposé sur tous les continents. Quatre personnalités déclinent ses particularités en Amérique, au Parlement européen et en politique internationale.
Efficace, éloquent, le couple gauche-droite s’est imposé sur tous les continents. Quatre personnalités déclinent ses particularités en Amérique, au Parlement européen et en politique internationale.
Efficace, éloquent, le couple gauche-droite s’est imposé sur tous les continents. Quatre personnalités déclinent ses particularités en Amérique, au Parlement européen et en politique internationale.
Efficace, éloquent, le couple gauche-droite s’est imposé sur tous les continents. Quatre personnalités déclinent ses particularités en Amérique, au Parlement européen et en politique internationale.
Les Français considèrent que la partition gauche-droite n’a plus de sens en politique, tout en continuant à se situer sur cet axe. Paradoxe d’une opinion qui espère une redéfinition des frontières plutôt que leur effacement.
Quoi de commun entre Daniel Cohn-Bendit et Nicolas Baverez ? L’icône de Mai 68 et le biographe de Raymond Aron ne s’étaient jamais rencontrés. L’échange entre le libertaire et le libéral est aujourd’hui pacifié, presque complice…
Sécurité ou conservatisme, valeurs venant de la droite, sont relayées par les discours de gauche, tandis qu’égalité ou réformisme, thèmes de gauche, sont repris par la droite. Des chassés-croisés qui ne vont pas sans ambiguïtés.
Les films de Clint Eastwood sont-ils de droite ou de gauche ? Et les artistes contemporains ? Hector Obalk et Catherine Millet, deux critiques, montrent qu’en art, il faut se méfier des étiquettes.