Histoire des sciences et des savoirs
Une recension de Géraldine Mosna-Savoye, publié leLe désir de connaissance qui a poussé Galilée ou Einstein au summum de l’inventivité humaine a une histoire. Aussi géniales soient leurs découvertes, elles sont pétries des autres savoirs du temps – philosophique, technique, artistique, littéraire, politique, économique, mais aussi des savoir-faire populaires ou professionnels, qui, eux aussi, sont porteurs d’une idée de la vérité sur le réel. C’est le principal apport de cette Histoire des sciences et des savoirs que de ne pas séparer les sciences des savoirs et de raconter leur élaboration « en situation ». Sur trois volumes et presque cinq cents ans, de la Renaissance à nos jours, l’histoire est rythmée par l’évolution des connaissances et les événements du monde (de la colonisation aux guerres jusqu’à nos questions sanitaires et écologiques). Nul grand récit, mais des aventures qui se lisent comme autant de facettes, captivantes ou inquiétantes, d’une perpétuelle révolution scientifique.
La science fascine et fait peur. On lui voue même un culte. Comment l’aborder avec plus de raison ? En scrutant ses deux faces et en se penchant sur la manière, exacte mais humaine, dont elle construit ses hypothèses.
La mécanique quantique, en général, ramène à trois images très simples : un chat entre la vie et la mort, de minuscules morceaux de matière…
Alexis Keller est l’un des seuls négociateurs, qui plus est philosophe, qui peut se targuer d’avoir abouti à un accord de paix détaillé entre Israéliens et Palestiniens. Signé en Jordanie, le 12 octobre 2003, l’Accord de Genève est un…
L’activité humaine altère plus vite, profondément et durablement que jamais l’environnement qui, en retour, affecte les conditions d’existence des…
Pour se dégager de la pensée magique, notait Karl Popper, il faut “laisser nos hypothèses mourir à notre place”.
La citation corrigée de François Morel
Aristote (384-322 av. J.-C.) Dans le Traité du ciel et la Physique, Aristote modélise l’Univers comme un emboîtement de couches sphériques autour de la Terre, identifiée chacune à un corps céleste. Dans l’ordre : la Lune, Mercure, Vénus, le Soleil,…
Avertissement : il ne s’agit ici que de pistes de réflexion et non d’une copie type nécessairement attendue par vos correcteurs. D’autres approches, d’autres thèses et arguments sont possibles.