L'École de Francfort
Une recension de Agnès Gayraud, publié leLe courant intellectuel est né en Allemagne dans les années 1930 autour de Max Horkheimer, Theodor Adorno et Walter Benjamin, mais le vocable « École de Francfort » a été forgé plus tard, dans les années 1950, pour désigner cette pensée moderne ancrée dans la recherche sociale et soucieuse de dégager les moyens théoriques d’une critique du capitalisme et des pathologies sociales qui en découlent. Rétrospective équitable et résolument philosophique, la somme de Jean-Marc Durand-Gasselin en expose avec clarté les profonds enjeux. Précis et pédagogique sur le « marxisme esthétique » d’Adorno et de Benjamin, comme sur la récente théorie de la reconnaissance d’Axel Honneth, l’auteur est particulièrement convaincant sur le projet d’Habermas : sa tentative de refonder la démocratie sur l’éthique de la discussion, en rupture avec les ambiguïtés catastrophistes de ses prédécesseurs, représente encore un véritable défi.
En période de confinement, peut-on faire classe à la maison comme si on était à l’école – et maintenir la fameuse “continuité pédagogique”…
On croit Daech à l’agonie. Mais n’est-il pas en train de se régénérer dans le Sahel, notamment en s’appuyant sur le mouvement djihadiste Boko Haram, qui s’illustre notamment par des enlèvements d’écolières et une violence sauvage ?…
À l’heure où les frasques du fils de Harry Potter font la Une, les philosophes s’interrogent dans nos pages : Quelle est la différence entre une…
L’enseignement moral et civique dispensé dans les établissements scolaires distingue trois voies : la sensibilité morale, la capacité d’élaborer…
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En partenariat avec Flammarion, Philosophie magazine propose chaque jour une réponse d’Alain Badiou extraite de l’« Éloge des mathématiques »
Philosophe, médecin, épistémologue, élève de Bachelard et de Canguilhem, François Dagognet s’est consacré à la réhabilitation de la matière. De l’industrie à l’art contemporain, de la chimie organique à la neuropsychiatrie, son œuvre…