Michaël Fœssel et Susan Neiman, par-delà bien et mal
Les philosophes Michaël Fœssel et Susan Neiman osent employer les catégories de « bien » et de « mal » dans une perspective qui n’est ni manichéenne ni religieuse. Ils montrent que, pour se confronter aux enjeux des guerres en cours ou évaluer la moralité des œuvres d’art, les notions de « mal radical » ou encore de « banalité du mal » n’ont pas fini d’être éclairantes. Retrouvez également ce dialogue dans le grand dossier de notre nouveau numéro, « Y a-t-il des bons et des méchants ? »
Les philosophes Michaël Fœssel et Susan Neiman osent employer les catégories de « bien » et de « mal » dans une perspective…
La thèse de la « banalité du mal » est l’une des plus contestées de l’œuvre de Hannah Arendt. Pourtant, au-delà des réévaluations de la figure d’Eichmann suscitées par la recherche contemporaine, sa thèse demeure fertile pour la…
Vu de France, Emmanuel Kant est, par excellence, le philosophe qui apporte les Lumières au genre humain, l’homme qui fait triompher la raison…
À l’instar des personnages tourmentés qu’elle incarne à l’écran, Virginie Efira cultive la mobilité et la perméabilité des émotions qui sont pour…
Avant de spéculer sur le monde d’après et la sagesse qui sera la nôtre après cette crise majeure… regardons avec quelle aisance et quelle…
Selon le philosophe Michaël Fœssel, les collapsologues, en évoquant la fin du monde, nous condamneraient à la fin de la politique. Pour lui, la perspective de l’effondrement devrait plutôt donner l’occasion de la réinventer.
C’est avec Ricœur que Michaël Fœssel, alors âgé de 15 ans, a découvert la philosophie. Une illumination qui s’est jouée autour d’une question essentielle : l’origine du mal.
Avant de tenter de “refaire le monde”, autant s’entendre sur ce que c’est. Le philosophe Michaël Fœssel nous livre ici une définition.