La piraterie, de l’utopie au parti politique
Quatre-vingt-quinze : c’est le nombre de circonscriptions où le Parti pirate présentait un candidat lors du premier tour des élections législatives. Aucun n’est parvenu à se qualifier pour le second. Tel n’était pas, à vrai dire, l’objectif de la petite formation libertaire, qui visait modestement les 1% des suffrages. C’était surtout une manière de faire entendre certaines problématiques dont les autres partis « se foutent », selon la porte-parole du mouvement, Florie Marie, citée par Numerama : les cryptomonnaies, la consommation électrique du numérique, etc.
Mais pourquoi donc se placer sous le signe de la piraterie ? Retour aux sources de la mythologie égalitaire et démocratique – plus que mercenaire ! – des pirates.
C’est en solitaire que le Parti pirate a choisi de présenter 95 candidats lors du premier tour des élections législatives de 2022. Au-delà de la…
Une entreprise démesurée, entreprise avec modestie. On pourrait résumer ainsi Au commencement était… Une nouvelle histoire de l’humanité (Les…
Il a étudié la philosophie à Stanford et a notamment suivi les cours de René Girard, avant de devenir l’un des entrepreneurs les plus influents de…
Après René Girard et Roger Caillois, notre « livre du jour » consacré à la guerre est l’œuvre d’Alexis Philonenko (1932-2018). Dans…
Pierre Charbonnier est un philosophe politique de l’écologie. Chercheur au CNRS, il a publié Abondance et liberté. Une histoire environnementale…
L’armée russe est accusée d’avoir mené des massacres dans plusieurs villes de la banlieue de Kiev, notamment Boutcha, où le président ukrainien…
Le 21 avril, une lettre rédigée par un ancien officier de l’Armée de Terre, Jean-Pierre Fabre-Bernadac, et signée par de nombreux officiers à le…
L’État, notion proprement politique, désigne l’autorité la plus haute pour gérer le vivre ensemble. Il se distingue de la société à laquelle il impose son arbitrage lorsque des conflits apparaissent entre les intérêts privés. Détenteur…