Vous avez un mess@ge
En moyenne, les détenteurs d’une boîte e-mail vérifient son contenu 37 fois par heure, soit toutes les 90 secondes.
Lorsqu’on participe à une expérience dite de « no email » durant 5 jours, le rythme cardiaque se calme et la capacité de concentration est supérieure même si le sentiment de solitude est plus fort.
Après avoir analysé 16 milliards d’e-mails envoyés par 2 millions d’utilisateurs pendant quelques mois, des chercheurs de Yahoo Labs ont calculé que 50 % des réponses sont effectuées en moins de 47 minutes, avec un pic à 2 minutes.
Une réponse (en anglais) comprend en moyenne 5 mots. 70 % des e-mails comptent moins de 100 mots.
Dans un futur proche, nous serons peut-être capables de communiquer avec les orques à l’aide d’une intelligence artificielle. Mais pourrons-nous…
Que révèlent mes gènes sur mes origines ? Philippe Huneman, philosophe spécialiste des questions de biologie, a fait un test génétique pour…
Analyse des termes du sujet « Puis-je » Est-ce possible par rapport à mes capacités personnelles ou en tant qu’être humain ? Est-ce logiquement envisageable ? « ne pas être l’auteur » Ne pas être en droit de signer, ne pas pouvoir…
La chercheuse en psychologie sociale au département des médias et de la communication de la London School of Economics, Sonia Livingstone nuance…
Le metteur en scène britannique Declan Donnellan reprend avec une remarquable troupe d'acteurs russes sa lecture de “Mesure pour Mesure” sur la…
Cet automne, Virginie Calmels, présidente d’Endemol France (« Loft Story », « La Ferme Célébrités », «Secret Story»…), annonçait une charte éthique refusant les « valeurs négatives comme le racisme, la drogue, l’alcool et toute forme…
Organisés par les membres du réseau social Facebook, les apéros géants sont une source d’inquiétude pour les autorités. Expriment-ils une soif d’échange réel par-delà la communication virtuelle ?
Poussés par la guerre, la nécessité ou le goût du voyage, ou bien attachés à la terre, cinq témoins livrent leurs récits de vie qu’éclaire de son regard engagé l’anthropologue Véronique Nahoum-Grappe.